Site officiel / Facebook / Youtube / Instagram
UNE NOUVELLE TOURNÉE POUR ANDRÉANNE A. MALETTE
Découvrez ‘Les jardins dérangés’, un spectacle d’Andréanne A. Malette ancré dans l’instant présent, célébrant le bien-être et la lumière.
Suivez le récit inspirant d’une trentenaire passionnée par l’humain, explorant les thèmes de la guérison, du moment présent et de la solidarité.
Une soirée qui réchauffe l’âme !
UN SUCCÈS QUI DURE !
Andréanne A. Malette démarrait sa première tournée de spectacles avec nous en février 2018 et personne n’aurait vraiment pu prévoir le succès qui l’attendait. La raison principale : le fait qu’elle soit désormais totalement indépendante et auto-produite. Alors que certains croyaient qu’il serait impossible de surpasser la popularité dont elle jouissait à sa sortie de Star Académie en 2012, Andréanne est désormais en plein contrôle d’une ascension fulgurante qui la positionne maintenant parmi les artistes en chanson les plus en demande sur les plateaux de télévision comme sur les scènes québécoises.
CRITIQUES
Les jardins dérangés : un album sensible et lumineux à la fois, rempli de sérénité. Un spectacle de toute beauté, une mise en scène frôlant la perfection. Une artiste libre, touchante et drôle! – Seb Lauzon – 107.5 Rouge et Noovo info
Apaisement : c’est le mot qui vient à l’esprit quand on écoute le nouvel album d’Andréanne A. Malette. Les jardins dérangés est le reflet doux et lumineux d’une longue quête intérieure […] – Josée Lapointe – La Presse
Seule, à deux, en équipe, avec un air de Francis Cabrel à la rescousse, l’artiste aura mené son nouvel album au meilleur des mondes possibles. Là où la chanson crépite. – Sylvain Cormier – Le Devoir
Ce sont des albums positifs comme ce que nous propose Andréanne A. Malette qui nous permet de nous libérer de ces temps lourds. – Alexe Laurin – Atuvu.ca
Les jardins dérangés, qui est donc le titre de l’album et d’une chanson, est un emprunt à une ligne d’une chanson de Francis Cabrel, le reste du temps. Un classique qu’elle s’approprie avec un admirable raffinement […] – Cédric Bélanger – Le Journal de Montréal